Sainte Odile partage également ses biens entre les abbayes de Hohenbourg et de Niedermünster, à l'exception de la cour d'Obernai, qui demeure commune aux deux établissements.
Faux datant de la fin du XIIe siècle ou du début XIIIe.
L'empereur Henri II confirme l'immunité de l'abbaye de Niedermunster et accorde aux religieuses le droit d'élire leur abbesse et de choisir leur avoué.
L'évêque de Strasbourg Henri II de Veringen cède à l'abbesse de Niedermünster l'église paroissiale d'Ottrott.
Le pape Honorius III confirme la concession de l'église paroissiale d'Ottrott, faite par l'évêque de Strasbourg à l'abbaye de Niedermunster.
Le pape Honorius III confirme la concession de l'église paroissiale d'Ottrott, faite par l'évêque de Strasbourg à l'abbaye de Niedermünster.
Postérieure d'un mois à G 2759/1bis.
Eberhard d'Andlau, Gertrude, sa femme et Hartmann de Rathsamhausen, fils de Gertrude, cèdent au monastère de Niedermünster le droit de patronage sur l'église d'Ottrott.
L'empereur Frédéric II ratifie le jugement rendu par les juges délégués par l'archevêque de Mayence, qui confirmait que l'abbaye de Niedermunster détenait le droit de patronage sur l'église d'Ottrott, que lui contestait Conrad IV, roi des Romains.
Willebirg, abbesse de Niedermunster, fait savoir que Frédéric d'Ottrott et sa femme Mathilde ont donné à l'abbaye une propriété à Ottrott, qui leur a été concédée contre un cens annuel d'un vase de cire.